Bonsoir,
Les dates de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) 2025 qui se déroulera au Maroc sont désormais connues. Lors de la réunion de son comité exécutif tenue aujourd'hui au Caire, la Confédération africaine de football (CAF) a validé la tenue la grand-messe du football africain du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026. Une décision qui répond à des impératifs calendaires internationaux.
Le ministère des Habous et des Affaires islamiques s'est exprimé, pour la première fois, depuis l’annonce des décès lors du Hajj. Sur les 900 morts déclarés, vingt Marocains ont péri cette année. La tutelle se veut rassurante et n’y voit aucune circonstance inhabituelle. Et pour cause, chaque année, le pays déplore 30 à 45 morts pendant le pèlerinage.
Bonne nouvelle pour l’économie : une première société de financement participatif (Crowdfunding) a été agréée par la Banque centrale. L’entreprise Akkan permettra désormais à tout porteur de projet de collaborer, d’investir et de transformer des idées en succès concrets. Une offre de financement qui vient donc s’ajouter aux circuits traditionnels, sans se substituer à eux. D’une mission ambitieuse à la demande d’agrégation, un parcours jalonné de défis que nous raconte Nasser Kettani, co-fondateur de la plateforme.
Place désormais à l’éducation, ce chantier érigé en priorité national dans le modèle de développement, franchit une étape décisive. Après un premier test prometteur courant de cette année scolaire, le gouvernement a approuvé le décret établissant le label «écoles pionnières». Un levier de transformation à même d’atteindre l’excellence éducative ambitionnée par l’exécutif. Désormais, l’objectif est de toucher 1,3 million d’élèves dès l’année prochaine.
Si ce programme vise à rehausser la qualité de l’enseignement dès les premières années des élèves, d’autres sont déjà en fin de parcours et attendent le verdict. Cette année, ce sont près de 493.650 bacheliers qui ont passé les épreuves. Parmi eux, 64% font partie des filières scientifiques et techniques contre 35% dans les filières littéraires. Une tendance qui se confirme d’année en année. Et ce n’est pas chose nouvelle : depuis les années 1980, dans la conscience collective marocaine, les filières scientifiques riment avec réussite professionnelle. À raison ou à tort ?
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